En septembre 1899, F. Guillaume alors instituteur en poste à Elancourt, a rédigé une monographie décrivant la commune, son histoire et ses principaux monuments.
Un dernier chapitre indique l’état de l’instruction publique à cette époque.
En septembre 1899, F. Guillaume alors instituteur en poste à Elancourt, a rédigé une monographie décrivant la commune, son histoire et ses principaux monuments.
Un dernier chapitre indique l’état de l’instruction publique à cette époque.
Au cours de leurs relevés, les membres de RACINES ont noté plusieurs références à des actes qui se sont déroulés à Paris.
Ces informations peuvent intéresser des généalogistes recherchant leurs ancêtres ayant vécu à Paris et dont les registres ont disparu lors des incendies de la Commune.
En forêt de Rambouillet, sur la commune des Bréviaires, se trouve une borne où figurent les armoiries de Charles de Silly et de François de Bourbon.
Ce document est la transcription du Cahier des doléances, plaintes et remontrances de la paroisse d’Élancourt, baillage de Pontchartrain de 1789.
La carte de Cassini est la première carte précise du Royaume de France.
Son nom provient du fait qu’elle a été établie au XVIIIe siècle par César-François Cassini et son fils Jean-Dominique.
Elle intéresse les généalogistes pour localiser des lieux-dits cités dans les documents et dont le nom a pu être modifié ou est disparu.
Ce document représente un extrait de cette carte comprenant les communes actuelles de Maurepas et Elancourt.
Entre les deux fenêtres d’une tourelle donnant sur la cour de la ferme du château, au village de Maurepas, sont présentes des armoiries relatives à des anciens propriétaires de la ferme.
Les armoiries représentées sont donc celles du marquis et de la marquise d’Havrincourt, possesseurs entre autres du château dans la seconde moitié du XIXe siècle.
Du blason des seigneurs de Maurepas au logo de la commune actuelle.
L’Hospice des Bordes est un hôpital de Jouars-Pontchartrain fondé en 1692 par le comte et la comtesse de Pontchartrain, et destiné à recueillir les personnes âgées à la fin de leur vie.
Les sépultures concernent des pensionnaires de l’hôpital qui y sont décédés et qui venaient des paroisses avoisinantes.
Un des adhérents de RACINES en a effectué le relevé pour la période 1745-1774.
En mars 1859, Augustin Eugène MÉQUIGNON prêtre et curé d’Elancourt, crée l’Orphelinat de l’Assomption.
En 1969, l’orphelinat est devenu la Fondation A. Méquignon.
Ce document relate la vie de Jean-Frédéric Phélypeaux, comte de Maurepas qui occupa différentes charges à la cour de Louis XIV, Louis XV et Louis XVI.
Ce document contient la liste des maires successifs de la commune de Maurepas.
Ce document contient la liste des maires successifs de la commune d’Elancourt.
Le nom des soldats qui se sont engagés au début de la Révolution nous sont connus par les comptes rendus des municipalités, qui relatent les versements d’indemnités aux familles.
Ce document donne la liste des soldats pour les communes de Maurepas et Elancourt.
Ce document comprend le texte de la conférence présentée le 21 mai 2005 par le président de l’association RACINES à cette date.
Cette conférence présente la vie des citoyens de Maurepas pendant la période mouvementée de la Révolution Française.
En septembre 1899, Victor Décacheux alors instituteur en poste à Maurepas, a rédigé une monographie décrivant la commune, son histoire et ses principaux monuments.
Un dernier chapitre indique l’état de l’instruction publique à cette époque.
En explorant les registres paroissiaux et d’état civil, on découvre un nombre important de décès d’enfants mis en nourrice par des parents issus d’une grande cité relativement proche.
Les mères rurales prolongeaient ainsi la durée d’allaitement après la naissance de leur enfant, leurs procurant à la fois un complément de revenu et un moyen de contraception naturelle.
Cette liste recense les décès d’une partie de ces nourrissons trouvés dans les registres d’Elancourt, Maurepas et Montigny-le-Bretonneux.
Ce document fournit la liste complète des habitants de Maurepas en 1792 figurant dans le registre des délibérations du conseil municipal.